Le 19ème siècle s'attacha au mouvement réaliste dont l'important était de retransmettre la réalité telle qu'elle est et dénonçant des thèmes comme le travail salarié. Germinal roman d'Émile Zola publié en 1885 s'inscrit donc parfaitement avec ce mouvement : dénonçant l'injustice des conditions de vie des mineurs et propageant des idées révolutionnaires interprété par son personnage principal. Le passage proposé est l'incipit du roman : un homme décrit comme un ouvrier sans travail et sans gite partit de Marchiennes dans la nuit noir et froide des paysages du nord de la France pour rejoindre Montsou, quand il aperçut "deux feux rouges". Cette métaphore est utilisé pour montrer la dure réalité de la mine à cette époque qui est décrite tel un monstre, c'est pourquoi après avoir étudié les caractéristiques de ce roman nous verrons comment l'auteur à su placer un tel réalisme transformé en vision métaphorique dans cet incipit de germinal.

Une entré dans le romans en mouvement, avec des éléments du paysage évoqué par des réalités dynamique ainsi qu'une progression vers l'action. Dès le début dans le roman, nous entrons dans un passage en mouvement avec plusieurs verbes de marches « suivait » (L.2), « déroulait » (L.9). Ces verbes conjugués a l'imparfait nous laisse entendre que le moment dur dans le temps et que sa marche est longue et difficile. Nous pouvons aussi observé du plus-que-parfait « était parti » qui nous indique qu'il s'est passé d'autres évènements durant sa route et que l'action a commencée avant. De même, on peut observé que des évènements du paysage normalement inanimé sont évoqué par des réalité dynamique « pavé » (L.3) est mis en mouvement par « coupant » (L.4) ainsi que « le pavé se déroulait » (L.9). Quand on avance dans notre lecture, on peut s'apercevoir qu'elle même est mise en mouvement par de nombreuse virgules et de longues phrases, qui nous montre que les mouvements du personnage sont long, dur et