evolutionnisme
Nous ne sommes pas descendant des singes puisque ceux-ci vivent à la même époque que nous. L’espèce humaine a effectivement déjà ressemblé à un singe, mais l’explication est simple. C’est tout simplement parce que nous sommes cousins et nous possédons un ancêtre commun avec lui. L’être humain n’est que le résultat d’un enchainement de changements et d’évolution et d’adaptation. Je m’explique.
Premièrement, selon les études menées par le naturaliste anglais Charles Darwin, la vie et les espèces se sont transformées. Pour expliquer cette évolution, Darwin met en place ce qui s’appelle La sélection naturelle. «C’est un mécanisme évolutif par lequel les sujets dotés des traits génétiques les plus favorables dans un milieu donné survivent et se reproduisent davantage que ceux qui en sont dépourvu.»1 Au fur et à mesure que les générations avancent, de plus en plus ces «caractéristiques avantageuses» seront présentes dans la population. Ce qui entrainera sur de longues périodes de plusieurs milliers, je dirais même millions d’années, le développement de nouvelles espèces. Pour prouver ces affirmations, Darwin utilise des fossiles. Ces derniers sont probablement une des plus grandes preuves de l’évolution des espèces puisqu’ils nous montrent des séquences évolutives, c’est-à-dire, les multiples étapes de l’évolution de différentes lignées au fil du temps. Les fossiles sont les seuls outils nous permettant d’affirmer qu’il y a des similarités anatomiques présentes chez plusieurs espèces. Lorsque je parle de similarités anatomiques je fais par exemple illusion à l’ordre dans lequel sont placés les os des bras des vertébrés terrestres, le coccyx qui est présent chez l’humain tout comme chez les grands singes est le vestige de la queue d’un ancêtre commun et l’appendice du gros intestin est le reste d’une cavité qui aidait notre ancêtre commun à mieux digérer les feuilles. Même si ces «organes vestigiaux»2 n’ont plus aucune fonction chez l’homme, ils nous