Exclusion
I : Intégration et exclusion dans les sociétés modernes (Dominique SCHNAPPER)
Selon Dominique Schnapper l’exclusion en tant que tel n’existe pas dans la mesure où se sont plutôt des dialectique (méthodes de raisonnement) autour de l’exclusion/inclusion. Ce qui est important ce n’est pas de se pencher sur l’exclusion mais sur les processus d’exclusion.
L’interrogation de la sociologie
Le paradigme de l’exclusion (qui est à l’origine du projet sociologique) pose la question suivante : * Comment entretenir et restaurer les liens sociaux dans notre société, lorsque celle-ci est fondée sur la souveraineté de l’individu, en d’autre terme sur le « je » ?
En effet, actuellement les citoyens ne sont plus relier les uns aux autres par un système de pensés communes, de croyances communes cr c’est ceci qui fonde un « nous », cela vient d’Auguste Compte. De ce fait Auguste Compte pense que ce qui doit lier les hommes n’est plus la religion mais la science. La science doit pouvoir présider à l’ordre social et impliquer des croyances communes, elle doit fonder « le nous » comme l’a fait par le passé la religion.
En ce qui concerne Emile Durkheim, lui pense que la solidarité mécanique (bureaucratique) doit être supplantée par la solidarité organique. Durkheim pense que qu’il est important de retrouver la cohésion sociale par la complémentarité des hommes, par la solidarité organique. En d’autres termes comment retisser les liens d’interdépendance entre individus dans une société menacée d’anomie (destruction des normes, valeurs, croyances).
Un vecteur d’intégration peut être lié au politique de protection sociale, de redistribution des richesses assuré par un état providences.
L’intégration/exclusion politique :
La société moderne se caractérise par la multiplicité et la fluidité des rôles et des participations des citoyens. Dans nos sociétés il n’y a pas de