Exemple de plan comparatif du développement
Point de vue : Non, on ne peut pas dire que Cartier et Lahontan décrivent les sauvages de la même façon dans leurs textes.
Argument principal 1 Pour débuter, selon Cartier, les Amérindiens ne sont que des sauvages avec peu de mérite. Ils les considèrent comme des êtres inférieurs à sa culture. De ce fait, ils perdent leurs identités, leurs mœurs et leurs bagages culturels aux profits des Européens.
Sous-argument 1.1 Sous-argument 1.2 En les appelants ''sauvages'', il est facile de constater le peu d’information qu’avait Cartier sur eux à l’époque. Pour lui, c’était une culture encore inconnue avec leurs façons d’être et leurs façons de vivre. Ce dernier, ne voyait qu’en eux une culture sous évolué comparativement aux Européens. Par la suite, Cartier utilisait plusieurs détails pour la rédaction de son récit de voyage. Alors, il tentait de montrer qu’il était précis et véridique dans ce qu’il racontait. Il utilise l'anaphore durant la rédaction de son texte. Il s'agit d'un procédé qui répète un mot ou un groupe de mot en début de phrase ou de paragraphe. Ce que Cartier a utilisé.
Illustration 1.1 Illustration 1.2 Lignes 1 à 7 :
Comment les nôtres plantèrent une grande croix sur la pointe de l’entrée dudit havre, et comment est venu le capitaine de ces sauvages et comment après une grande harangue, il fut apaisé par notre capitaine, et resta content que deux de ses fils allassent avec lui.
Le vingt-quatrième jour dudit mois, nous fîmes faire une croix de trente pieds de haut, qui fut faite devant plusieurs d’entre eux, sur la pointe de l’entrée dudit havre (Gaspé), sous le croisillon de laquelle mîmes un écusson en bosse, à trois fleurs de lys, et au-dessus, un écriteau en bois, engravé en grosses lettres de formes, où il y avait, VIVE LE ROI DE FRANCE. Lignes 20 à 28 :
Et puis leur montrâmes par signes, que ladite croix avait été plantée comme borne et balise pour entrer dans le