En effet, j’ai pu voir que Mme D est arrivée le 10 février 2012 au SSR. C’est une dame âgé de… ans, mesurant 1m60 pour 88 kg, elle a donc un IMC de 34.4
Mme D, N’à pas d’allergie connue. Mais étant diabétique de type II, elle est exposé à des risques d’hypoglycémie. Nous lui faisons deux insulines pas jours, au matin et aux soirs. Mme D à été victime dune fracture bi malléolaire de la cheville droite suite à une chute dans les escaliers. Suite à son opération, Mme D à dut porter un plâtre et devait assister à des séances de kinésithérapies commencer le 10 mars 2012 pour entretenir des mobilités musculo-articulaire en attendant l’autorisation d’appui. Le 27 mars, Mme D à eu un rendez-vous pour enlever le plâtre, depuis elle à l’autorisation de l’Appuie complet sur les deux jambes, ce qui lui permet d’assister depuis à des séances de kinésithérapies commencer le 28 mars, dans le but d’une remise à la marche. Mme D, marche avec des béquilles depuis qu’elle à enlevait son plâtre. Mme D est une très coquette, sociable, qui aime rire et racontait des séries TV de la veille au soir.
En ce qui concerne son autonomie, elle n’a pas besoin d’être assisté, mis à part, pour se laver les pieds, le dos et pour mettre les bande de contentions. Ces journées se ressemblent souvent, le matin elle se lève vers 7H, nous arrivons dans sa chambre vers 7h15, nous l’aidons pour la toilette des pieds et dos puis pour mettre les bandes de contentions. Et nous lui apportons son petit déjeuner vers 8h. Puis nous repassons vers 8h30 pour lui apporter les médicaments de la journée, et pour faire une dextro et l’insuline. Mme D passe sa matinée à écouter la Radios ou à se balader dans les couloirs. Vers 11h30 on passe dans sa chambre, pour lui faire une dextro. Puis elle descend avec ses béquilles au restaurant dans le rés de chaussée pour manger à 12h Puis Mme remonte dans sa chambre pour 13h15. A 15h, Mme D, monte au deuxième étage pour aller à la salle de kinésithérapie. A 17h30 nous