Soudainement, j’eu un sentiment de dégout en vers une sorte de Barbie d’un mètre soixante quinze. A dix mètres de moi se tenait une femme qui devait avoir dans la trentaine. Elle dégageai une sorte de solitude qu’elle espérait peut être combler cette nuit. Tout les regards étaient braqués sur elle, et ceci ne m’étonnait pas plus que ça. Elle était grande. Remontée par ses talons aiguilles, elle se dandinais sur place en faisant jouer ses longues jambes, qui rien qu’elles, devaient mesuré plus d’un mètre. Habillée d’une robe noir à paillette qui pourrais presque servir de top et de collants résilles noirs, elle remontait ses seins refaits sans aucune gène. Avec ses long cheveux raides couleurs urines et son maquillage noir explosif sur les yeux, elle ressemblé à une poupée Barbie. La couleur de sa peau était d’une blancheur rarissime. On pouvais devinée que celle-ci avait forcé sur le fond de teint car sa figure était deux fois plus bronzé que le reste de son corps. Elle portait de grandes créoles argentées sur les oreilles. En attendant son Kane avec ardeur, elle frissonnait car la nuit venais de tomber et la fraicheur venait de s’installais. Avant de faire demi-tour pour rejoindre mes amies qui m’attendaient, je la regarda une dernière fois avant de disparaitre. En réalité, cette femme me faisait de la peine. Je penses qu’aucune femme ne pourrai envier une femme comme celle-ci, qu’on appelle une