Expession écrite
-Pardon, excusez-moi, PAUL ? pardon, Paul ! Paul ! Oui c’est bien toi mon vieil ami !
-Corynthe ! quel surprise ! Que fais-tu ici, tu assistais à la pièce ?
-Oui, cette pièce de Corneille quel triomphe ! Quel mise en scène, quel histoire ! Je suis pensif de ce monologue de Don Rodrigue, c’est un véritable conflit intérieur, il réussit à nous faire partager sa douleur par son poème, son monologue lyrique, je suis subjugué - Qu’es que j’entends tu as vraiment apprécier ? Comment être émerveiller devant la douleur de Don Rodrigue, sa douleur est trop extrême pour l’affront qu’à fait le père, je ne comprends pas comment ont peut-être à ce point anéanti pour une femme cela me prosterne, Chimène apparait à chaque paragraphe de son dire, elle le tue, elle le maltraite moralement et lui trop faible trop aveugle pour voir son être, ce que cette femme à fait de lui, provoque la pitié de cet homme et met mal à l’aise.
-N’a tu aucun rêve ? Comment ne peut tu être insensible à la réflexion sur cet amour, Chimène n’y est pour rien elle l’aime aussi, ils aller se marier tous deux, seulement c’est le père de Don Rodrigue qui est la cause de ce malheur, si il n’avait pas charger son fils de laver cet affront, Don Rodrigue n’aurait pas ce dilemme qui le persécute et lui cause des problèmes !
-Un père ne peut-il pas compter sur son fils, comment peut-on hésiter sur l’amour ou l’honneur, pour une fille, Chimène qui vient lui faire du tort. Ce garçon est bien lâche d’avoir toutes ces idées, et il est encore plus lâche de penser au suicide, cela m’exaspère et attise mon incompréhension !
- Le suicide est bien lâche mais je conçoit à penser que Don Rodrigue ne sait que faire entre son père et Chimène, je comprends sa pensée que faire dans une situation comme la sienne, si il choisit un parti l’honneur ou l’amour sera brisé, la tragédie est bien là et traduite dans ses paroles comme une