Ce monologue vient de la comédie l’Avare par Molière – le dramaturge et acteur célèbre. C’est l’histoire d’un avare, autrement dit, quelqu’un qui est très riche mais très frugal, qui s’appelle Harpagon. Dans l’Avare il y a beaucoup de conflit avec la famille. La fille d’Harpagon, Elise, tombe amoureuse d’un fils qui s’appelle Valère qui est pauvre, alors Harpagon veut plutôt qu’elle se marie avec un homme vieux très riche. Il accorde de l’importance d’argent plus qu’au bonheur de ses enfants. De plus, il est amoureux de la même femme comme son fils, sans parler du fait qu’il a plus de soixante-dix ans ! Dans ce monologue, Harpagon découvre que sa cassette a disparu. Il crie « au voler, au voleur » et apparait très bouleversé. Il compare sa propre mort avec la disparition de l’argent faisant de grosses exagérations « c’en est fait, je n’en puis plus, je me meurs, je suis mort, je suis enterré ». Il parle à l’argent comme quelqu’un dont il est en amoureux, « Sans toi, il m’est impossible de vivre » et il répète « mon cher ami » ou « mon cher argent. » Il réfléchit à la mort de plus en plus tout au long du monologue qui montre qu’il préfère être mort que sa famille actuelle. Cela montre son caractère d’homme égoïste et cupide. Peut-être, Harpagon est un commentaire au valeurs de la bourgeoisie à l’époque. Tout au long du monologue, Harpagon devient un peu parano soupçonnant son fils et sa fille comme voleur : « est-ce mon voleur qui y est. » De plus, il est très sérieux, exigeant que « des commissaires, des archers, des prévôts, des juges, des gênes, des potences, et des bourreaux » trouvent son argent ou sinon il se suicide. Une autre caractéristique du monologue : Harpagon demande des questions à travers le monologue comme s’il y avait une autre personne pour l’effet comique « Que dites-vous ? Ce n’est personne ». C’est un style comique dans les pièces de Molière dont les acteurs s’adressent aux spectateurs dans cette façon. Autrement dit, il