Explication linéaire ville prise victor hugo
A- Les prémices de la guerre :
Vers 1 : On peut voir la volonté du roi. Cela rappelle le pharaon ayant ordonné de tuer chaque nouveau nés de chaque maison, et ayant donc mis feu aux maisons des propriétaires se rebellant → Clin d'oeil à l'Egypte Antique avec l'orient.
Le roi est une marque de respect. Il est indiqué ici que c'est le roi qui fait briller la flamme, c'est un faux-semblant de quelque chose de bien provoqué par lui : le roi pense bien faire. Mais il pense à son propre bien plutôt que celui du peuple comme le montre le mot « dévore » : il montre que le bien du roi passe par le mal du peuple.
Vers 2 : La flamme, qui serait la désignation de la guerre, un ordre du roi, fait parler d'elle. On met de côté la condition du peuple avec l'importance de cette guerre. Le grondement de cette guerre pourrait évoquer les nouvelles qu'elle suscite, son avancée et ses rumeurs.
Vers 3 : « rougissant les toits » rappelle la flamme qui brûle, en échos avec le mot « dévore ». Ce serait une métaphore : On fait appel ici à la honte du peuple de ne pas savoir réagir à « l'attaque », de ne pas savoir se défendre.
De plus, sombre aurore évoque un départ. Ce serait le départ de quelque chose de sombre, qui n'apporte rien de bon : cela confirme le début de la guerre.
Vers 4 : On voit ici un paradoxe : une antithèse entre la joie du vol et les débris se met en place. La facilité de détruire rend le geste