Explication métaphysique des tubes
Amélie Nothomb
Journal de Bord
1er Jour
Page 5 à 21
L’auteur commence l’autobiographie par une « genèse », au début du récit, après sa naissance, on la considère comme un légume. Elle se décrit plutôt comme un tube qui absorbe, filtre et rejette. Elle se prend pour Dieu car elle pense que toute les vies sont reliées à la sienne et qu’elle occupe une place en chaque personne. Tout a un rapport avec elle. C’est l’égocentrie d’une enfant de 3 ans. On append qu’elle est belge comme toute sa famille et qu’elle vit au Japon car son père est ambassadeur.
2ème Jour
Page 21 à 45.
Alors qu’un jour ordinaire commençait, toujours comme un tube. Elle poussa des cris, elle était en colère. Je trouve que c’est assez étrange une naissance postérieure de deux ans à l’accouchement. Et c’est là qu’elle donna son premier signe de vie. La petite fille est très en colère de voir que les autres peuvent parler et qu’elle non, elle se rend compte qu’ils ne dépendent pas tous d’elle. Mais le problème devient plus fort, elle ne cessait rarement de crier ce qui agacé ses parents, son frère et sa sœur. Puis vint un autre moment important, l’arrivée de la grand-mère pour surtout voir sa petite-fille vivre. L’enfant ne l’apprécie pas mais quand elle lui tend un morceau de chocolat blanc de Belgique elle ne peut s’empêcher d’y gouter. Et à partir de là elle devient une enfant comme les autres, en lui donnant une identité, le chocolat blanc.
3ème Jour
Page 45 à 75
On apprend la mort de sa grand-mère paternelle. Elle conclut que sa grand-mère avait payé de sa vie la sienne. Elle examine déjà à son jeune âge ce que veut dire la mort. Elle fait de Nichio-san, une serviteuse pour elle et cette dernière lui raconte encore une de ces histoires qu’elle aime quand il y a du sang et de la mort. Drôle de goût. Mais arrive une nouvelle gouvernante, Kashima-san, d’une cinquentaine d’année et bien autoritaire vis-à-vis d’Amélie. Cette dernière ne comprenait pas