Nietzsche est, entre autres, un grand philosophe allemand de la fin du XIXème siècle. Il est considéré comme l’un des plus grands influenceurs de « l'histoire intellectuelle contemporaine » : la philosophie moderne. Dans le chapitre 9 du livre premier de son œuvre Aurore , Nietzsche parle de la moralité. Cet extrait s’articule autour de 3 parties distinctes : ligne 1 à 2, lignes 2 à 5 et enfin de la ligne 5 à 8 (Première partie)Dés la première ligne, …afficher plus de contenu…

Pour Nietzsche, la moralité ne peut venir que des mœurs et peu importe ces mœurs. Il emploi le mot « obéissance », ligne 1, qui est un mot très fort : On obéit à des mœurs pour être une personne morale. Ce mot nous indique une certaine obligation que la moralité nous inflige, celle d’obéir !(Deuxième partie)La deuxième partie du texte, ligne 2 à 5, se distingue grâce à l’emploi de la conjonction de coordination « or » ligne 2. En effet, elle annonce un changement d’idée de l’auteur.Nietzsche, nous parle de cette « façon traditionnelle d’agir ». il veut dire, par là, que de toutes façons, on agit par habitude et non pas par libre arbitre. …afficher plus de contenu…

Puis à la ligne 4 et 5, il insiste lourdement afin que son propos soit bien compris la tradition est à la base de la moralité. Pour cela, il emploi une comparaison parallèle avec les comparatifs « moins » et « plus » : « moins la vie est déterminée par la tradition, plus le domaine de la moralité diminue ». En employant cette construction de phrase Nietzsche veut intensifier l’importance de la tradition face à la moralité. (Troisième partie)Enfin, Nietzsche, à la fin de l’extrait va nous donner l’antithèse de la moralité afin de mettre en valeur l’idée qu’il a développé précédemment. En effet de la ligne 5 à la ligne 8, il ajoute l’idée de liberté et d’immoralité afin de mettre l’accent sur la nécessité de la tradition et de la moralité. Les mots « libre » et «