Explication linéaire d'un extrait de Aube de rimbaud
-vision féérique de l’enfant, et transformation naturelle de l’aube fait naître une rivalité qui suscite une poursuite, une compétition entre l’enfant magicien et « déesse »nature. -fin de cette course, l’enfant victorieux et fait disparaître l’aube. -Le temps a passé → Il est midi. Problematique : Comment la « rivalité » entre l’enfant et la déesse illustre-t-elle le pouvoir transfigurateur de l’enfance, de la poésie et de ce moment privilégié qu’est l’aube ?Le pouvoir transfigurateur de l’enfance(l. 1 à 6) :Deuxième partie (l.7 à 12)Le pouvoir transfigurateur de l’enfance(l. 2 à 6) :premier octosyllabe « J’ai embrassé l’aube d’été » → ambigu :donne info au passé, et représente en même temps un résumé de toute l’expérience relatée dans le poème - on sait que l’aube qui va …afficher plus de contenu…
-coq =symboles traditionnels de aube -> chant du coq déclenché par le lever du jour =nouvelle insertion du monde animal -> le coq près des hommes. - = transition qui mène enfant de forêt/ a ville.-succession de lieux différents -> un élargissement fabuleux de « l’allée », en passant par « la plaine » et la ville = apparaît sous un aspect féérique. - passage aube fait apparaître des objets nouveaux : « dômes », « clochers », « route », « bois de lauriers ». - => l’idée même pouvoir magique chez l’aube et chez l’enfant ( enfant poète). B-Confusion de l’enfantet de l’aube- pouvoir commun les rôles de l’enfant et de l’aube -> souligné dans la dernière strophe (l. 10/11).-enfant a rattrapé aube ->