L'ANGLETERRE

L’Angleterre fait partie du Royaume Uni (Angleterre, Irlande, Écosse) sur l’île de Grande-Bretagne, au nord ouest de la France, de l’autre côté de la Manche. C’est une monarchie parlementaire : cela veut dire que les Anglais ont une reine (mais cela pourrait être un roi !) : Elisabeth II, et un gouvernement choisi selon la majorité des députés.

La monnaie est la livre sterling (pounds).
Sa population est d’environ 58 millions d’habitants.
Londres est la capitale.
L’anglais est la langue officielle.
Les religions sont chrétienne (Église anglicane) et musulmane (immigration).
Remarque : Là-bas, on peut avoir le permis de conduire à l’âge de 17 ans alors que pour nous, c’est 18 ans. Ils ont de la chance les Anglais ! Mais attention, ils roulent à gauche !

LONDRES EN FLAMMES

Dans la nuit du 2 septembre 1666, un feu envahit l’arrière-boutique d’un boulanger londonien. L’incendie s’étend très vite dans la rue de Pudding Lane. Les maisons en bois enduites tombèrent en poussière. La capitale anglaise, qui comptait à cette époque 500 000 habitants, était une métropole active. Elle venait de se relever d’une épidémie qui l’avait touchée l’année précédente (en 1665) et qui avait provoqué beaucoup de décès.
Le feu gagne plusieurs maisons. Sir Thomas Bludworth est alerté. Il regarde à sa fenêtre et voit quelques maisons en flammes : aucune raison de s’alarmer, il laisse les sauveteurs faire leur travail. C’est alors que les entrepôts de chanvre et de pois situés à Thames, au bord de la Tamise, s’embrasent. L’incendie descend le long du fleuve. Dix mille maisons et près d’une centaine d’églises s’en vont en fumée. La cathédrale Saint-Paul s’écroule.
Le roi Charles II Stuart se joint bientôt aux sauveteurs. Les soldats entreprennent de faire sauter des maisons pour mieux étouffer le feu. Celui-ci s’éteint enfin. Grâce au sang-froid des habitants, l’incendie n’aura fait que 8 victimes. Mais il ne reste plus que 100 000