Pour terminer, notre troisième thème, la satire de la religion.
Nous avons d'abord pris comme exemple le chapitre IV l'envieux. Zadig y fait la rencontre de savants se disputant sur un des principes de la religion Zoroastre disant qu'il est totalement défendu de manger du griffon. Ainsi les savant débatent sur le fait de l'existence du de cet animal mithyque. on remarque ici une première fois l'abusrdité des sujet de discussion. Voltaire nous montre l'insignifiance des sujets de discussion que la religon engendre. En effet, ces hommes qui sont présentés comme des savant pourraient mettre leurs idées au service d'autre chose que des futilités de ce genre.
Essayant de les mettres d'accord, un des savants accuse Zadig devant un archimage nommé Yébor. Voltaire adresse ici deux petites piques à la religion, la première en nommant l'archimage Yébor, en faisant allusion à l'évêque Boyer que l'auteru détestait et en le dévalorisant par le therme " Le plus sot des chaldéens".Dans un deuxième temps, grâce à la suite de l'histoire, Voltaire critique la religion en la disant corompue. En effet, Zadig doit être comdamné " pour avoir mal pensé des griffons". Cette accusation totalement infondée et surtout intransigeante puisque notre héros est condamné être empalée. Le philosophe nous décrit la religion comme totalement incensée. Cette sentence parait illéductable, jusqu'à ce qu'une femme use de ses charmes pour ainsi faire changer Yébor d'avis. La religion nous est ici présentée comme totalement corrompue.
Ensuite, Voltaire dresse une satire de la religion dans le chapitre XIII intitulé "Les rendez-vous" on nous retrouvons notre héros condamné au bûcher par les prêtres des étoiles. Voltaire nous renvoie une fois de plus un image négative de la religion, ici cupide et agissant par interêt. Ensuite le scénario est le même qu'au chapitre précédement décrit sau que cette fois c'est almona qui use de ses charmes en donnant rendez vous un par un aux prêtre et en usant de ses