L'immigration de la société française au XXè siècle

Le départ pour l'émigration commence vers 1962 avec l’indépendance de l'Algérie.
Ceux étant concernés sont principalement les harkis, les pieds noirs ainsi que leurs familles.

Ces derniers sont obligé de partir en exil en France car ils sont considéré comme traite en ayant combattu pour la France, cette dernière les a abandonnés après la guerre.

Ce sont les militaires qui s'occupe de l'évacuation des harkis et de leurs familles ; devant les voisins qui les insultent.
Les conditions de départ sont difficiles, l'évacuation est précipitée, les harkis et leurs familles sont entassés dans des camions, ils sont apeuré, inquiet.

A leur arrivé en France, les émigrés sont placés dans des camps (bidonvilles) et sont souvent transférés d'un camp à un autre. Ils ont donc un nouveau mode de vie (nomade) et découvrent beaucoup de nouveaux environnements ainsi que de nouvelles technologies et innovations.

Les adultes acceptent le travail qui leur est proposé (par exemple Forestier ; ou dans le cas de mon grand-père, ouvrier, dans une usine métallurgique)
Les gens de cette communauté ont une grande pudeur, fierté ; ils n'osent pas raconter ce passage de leur vie.
Les camps où les harkis cohabitent sont encadrés par des militaires et hiérarchisés.

Durant l'installation en France, les harkis se sentent déracinés, matériellement démunis.
Ils sont analphabètes et illettrés pour la plupart d'entre eux.

Ils sont accueillis avec mépris par les Français.

La vie au camp leur est insupportable, à la recherche d'une maison ils ne peuvent pas déménager car ils sont sous « l'autorité militaire ».
Finalement ils réussissent à déménager après plusieurs refus grâce à l'obtention d'un papier.

Le changement de leur mode de vie les impressionnent, ils passent d'un monde rural à urbain, la ville dans laquelle ils habitent est plus grande et plus riche que la précédente (en Algérie).
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