Génétique
Intro
L’obésité ne se résume pas seulement aux troubles alimentaires, la génétique et l’hérédité ont aussi de l’influence sur l’obésité. En effet, l’être humain aurait des prédispositions à l’obésité, dus à l’environnement familial ou socioculturel.

1. Obésité et Chromosome
L’obésité dû a l’hérédité se manifeste relativement tôt dans l’enfance et se traduits par des anomalies au niveau d’un chromosome en particulier. Le professeur Phillipes Froguel (médecin français), a l’aide d’une expérience, a prouvé la présence de gènes comportant des prédispositions à l’obésité, situé sur les chromosomes 6, 15, et 16. De plus, ces mêmes régions chromosomiques modulent la sensibilité à l’insuline de ces enfants et diminuent également l’âge de rebond d’adiposité (c’est à dire l’âge ou la composition corporelle de l’enfant devient plus chargée en graisse qui est le principal facteur d’une obésité sévère de l’enfant). (Ces résultats constituent la première démonstration mondiale directe de l’existence de gènes d’obésité commune de l’enfant.)
2. Obésité et Leptine
L’obésité implique de nombreux gènes. Ils interviennent sur la production par les tissus adipeux (adipocytes) de leptine. La leptine est l’hormone de satiété (elle réduit l’appétit). Elle est produite par le gène OB. Elle agit au niveau du système nerveux central et intervient dans le contrôle de la masse grasse en modulant la prise alimentaire et la dépense d’énergie.
Un taux normal de leptine réduit l’appétit et agit comme un « frein » envers la nourriture. En revanche, on a pu constater que la plupart des sujets obèses ont des taux élevés de leptine en proportion avec leur masse grasse, suggérant plutôt une « résistance » a l’action centrale de cette hormone. Donc un taux de leptine trop élevé a donc une action inverse et n’agit plus comme un frein sur la nourriture.
Ainsi la génétique est un des facteurs de l’obésité.

Psychologie et société
L’obésité peut être aussi dû a des troubles