L
I. DEFINITION / ENJEUX

1. L’image et le sens

Une œuvre d’art est unique
Il faut avoir conscience de faire une œuvre d’art (≠hasard / ≠enfants)
Art brut : un art très spontané avec des matériaux brut (ex : matériaux de récupération / sable / cailloux) / art quand une personne n’a aucune formation artistique / réaction spontanée
Doit être signé
L’art est fait pour lui-même

2. L’image et le texte
La lecture d’image commencera donc par une description basée par la lecture des formes, sachant que l’image est sup. au texte car sa compréhension est globale, rapide, immédiate (parfois invisible dans le cas de l’image subliminale) et non linéaire. C’est ainsi que nous vivons actuellement dans une Sté ou prédomine l’image & elle a conquis tous les domaines d’investigation comparables au texte
Il faut cependant ce demandé si la prédominance de l’image serait plutôt un signe de régression ou de progression dans l’histoire de la com.
Histoire de l’écriture
PICTOGRAMME
3300 av. JC
(dessin)
Un dessin qui représente un objet
« dessin œil »  « œil »
Pas de code / universalité
IDEOGRAMME
(concept)
Un dessin qui représente une idée, un concept
« dessin œil »  « œil »  « vue »  « vision »
Passé du concret à l’abstrait
PHONAGRAMME
(son)
Un dessin qui représente un son
 l’alphabet  les lettres
L « l »
Convention  code culturel

En effet nous savons depuis la découverte de l’écriture Sumérienne (Mésopotamie) et des peintures rupestres (sur les parois) que l’image à précéder l’écriture et même qu’elle a produit l’écriture née du commerce. C’est ainsi que le pictogramme qui est l’ancêtre de l’écriture et adj. de nouveau privilégier comme signalétique utilitaire sur bon nombre de nos objets au quotidien (étiquettes de vêtement, lave-linge, écran d’ordinateur, etc., cela s’appelle des icônes
Le retour en force de l’image est du à son caractère universel, à sa facilité d’emploi, c.-à-d. à l’immédiateté de sa saisi sémantique (on a immédiatement