J’étais né pour rester jeune et j’ai eu l’avantage de m’en apercevoir, le jour où j’ai cessé de l’être. (Georges Courteline)
Il n’existe que deux choses infinies, l’univers et la bêtise humaine, mais pour l’univers, je n’ai pas de certitude absolue. (Albert Einstein)
La pire des souffrances est celle de ne plus pouvoir aimer. (Dostoïevski)
On s’étudie trois semaines, on s’aime trois mois, on se dispute trois ans, on se tolère trente ans et les enfants recommencent. (Hippolyte Taine)
On n’a rien inventé de mieux que la bêtise pour se croire intelligent. (Amélie Nothomb)
Il n’y a pour l’homme que trois évènements : naître, vivre et mourir. Il ne se sent pas naître, il souffre à mourir, et il oublie de vivre. (La Bruyère)
Le premier des bons ménages est celui que l’on fait avec sa conscience. (V. Hugo)
J’ai appris qu’une vie ne vaut rien, mais que rien ne vaut la vie. (André Malraux)
On ne peut oublier le temps qu’en s’en servant. (Charles Baudelaire)
Le temps ne s’occupe pas de réaliser nos espérances, il fait son œuvre et s’envole . . . (Euripide)
Il faut de l’esprit pour bien parler, de l’intelligence suffit pour bien écouter. (André Gide)
Quand on court avec l’esprit, on attrape la sottise. (Montesquieu)
L’égoïste est triste parce qu’il attend le bonheur. (Alain)
On rencontre sa destinée souvent par les chemins qu’on prend pour l’éviter. (Jean De La Fontaine)
L’orgueil et l’argent sont les deux facteurs qui mènent le monde, qu’il soit scientifique ou pas. (Claude Allègre)
Les jours sont peut être égaux pour une horloge, mais pas pour un homme. (Marcel Proust)
La solitude n’est possible que très jeune, quand on a devant soi tous ses rêves, ou très vieux, avec derrière soi tous ses souvenirs. (Henri de Régnier)
L’homme est un apprenti. La douleur est son maître, et nul ne se connaît tant qu’il n’a pas souffert. (Alfred de Musset)
Oublier est le grand secret des existences fortes et créatrices. (Balzac)
Pas besoin de gril. L’enfer c’est les autres.