Fable ou hisoire
Tout d’abord la gare, aucun suspens, on sait tout de suite de quoi l’auteur parle, grâce a son titre « L’ancienne gare de Cahors ». Une gare, mais plus en état de marche, et ça, Valery Larbaud le montre très rapidement avec un vers 2 très direct « Désaffectée, rangée, retirée des affaires ». On pouvait déjà sans douter avec le titre, mais cette fois ces sur, c’est une gare abandonnée. Et l’auteur va donc dans un premier temps décrire cette gare abandonnée, il décrit la marquise, qualifiée à présent « d’inutile » (v.5) mais aussi du quai « ton quai vide » (v.6) « ton quai silencieux » (v.9) avec notamment une répétition de « ton quai » pour bien insisté que c’est de la gare que l’on parle, à ne pas confondre un autre quelconque bâtiment. Puis il