Faire connaître SON EVENEMENT… Les BONS REFLEXES Etape 1 : Penser « plan média » Promouvoir un événement culturel, c’est assez étonnamment recourir à des principes de vente, à des concepts marketing… C’est se demander quel produit on offre et à qui il s’adresse. L’offre culturelle est impressionnante, le public et les médias sont sans cesse sollicités : pour retenir leur attention, il faut agir de manière professionnelle, réfléchie et consciencieuse. Pour rendre notre communication optimale, n’oublions pas d’appliquer des principes simples : analyser les moyens dont on dispose et les besoins ; définir la zone de « chalandise », autrement dit définir jusqu’où le public va se déplacer (indispensable pour l’affichage, voir supra) ; identifier son public ; cerner le retentissement que l’on souhaite pour son événement ; évaluer le nombre de spectateurs nécessaire pour retrouver un certain équilibre financier.

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• Il vaut donc mieux établir un plan média : il reprendra à quel moment, il faut faire quoi et sur quel support ; il doit être prévu dans le budget (entre 20 à 30% même pour les petits événements, ce budget peut être envisagé sous forme de partenariat) ; il respecte un équilibre entre la presse, la promo et le rédactionnel.

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Il faut savoir que l’on ne communique pas sur tous les événements de la même manière, c’est particulièrement vrai dans le cas d’une programmation culturelle reprenant plusieurs manifestations. Il faudra alors identifier les temps forts et les rappeler aux bons souvenirs des journalistes… Et surtout, coordonner l’ensemble des supports avec lesquels on travaille… Les délais de la presse écrite sont différents de ceux de l’audiovisuel ou encore n’ont rien de comparable avec ceux pratiqués par les imprimeurs et les distributeurs d’affiches mais, au-delà, c’est la périodicité des supports qui est infiniment variable. Certains magazines sont semestriels mais leur impact auprès du public visé pour notre manifestation peut être très