Fançais BTS CIG
Depuis 10 ans l’économie des industries graphique est en récession. Notamment à cause de plusieurs facteurs nouveaux venu se greffer à la chaine de production tels que les TIC qui dématérialise les supports ou automatise une chaine de production avec les conséquences sur l’emploi que cela peut engendrer. De plus à cause d’une concurrence accrus des pays européens et étrangers qui atteignent peu à peu une rapidité et un niveau de production équivalent au notre, le nombre de contrats, d’entreprise et d’emplois liés aux industries graphiques diminue. Avec cette nouvelle ère c’est tout un monde qui doit se restructurer pour faire face et surtout rester à sa place car l’industrie graphique française à toujours eu une image de luxe et de haute qualité. Pour avoir une vision d’ensemble la filière des arts graphiques regroupe en amont les fabricants de matériels et de matières premières avec leurs distributeurs : équipementiers, industrie chimique, papetière, optique…
Au cœur de la filière les secteurs directement concerner par l’impression forme les industries graphiques. En aval gravitent une multitude de donneurs d’ordres tels que les éditeurs, les administrations, les entreprises et les particuliers…
L’industrie graphique peut-être divisé en trois grandes familles :
Le prépresse (composition et photocomposition), l’imprimerie de labeur (offset roto à plat l’héliogravure impression numérique et sérigraphie) et la finition (reliure, brochage, pliage …) correspondant au poste 22.2C ; 22.2G et 22.2E de la nomenclature d’activités française car elles peuvent être intégrées au sein des unités de productions.
En France 5000 entreprises dédiées aux industries graphiques maillent le territoire français dont 80% sont composés de moins de 20 salariés et représentent 25% du chiffres d’affaire total de l’industrie manufacturière française. Mais depuis plusieurs années comment ces petites entreprises résistent-elles à un marché ultra