Fast-food
Selon le point de vue de Thomas, les aliments et les plats que l’on peut consommer dans les établissements de restauration rapide ne sont pas présentés sous leur forme naturelle, mais sous une forme « recyclée ». De plus, il affirme ne jamais se rendre dans le célèbre restaurant-minute MC-Donald’s. Toutefois, il avoue être adepte de la restauration rapide turque et asiatique. Parfois, il cuisine avec les aliments qui sont à sa disposition toute en essayant d’élaborer des plats recherchés.
Sylvaine ne fréquente pas régulièrement les fast-foods, même si elle est d’avis que c’est plutôt appétissant. Dans sa carrière professionnelle, elle explique avoir vécu une expérience négative. Non seulement, son salaire ne lui était pas versé à date fixe, mais ses patrons l’injuriaient devant la clientèle et ils la forçaient à augmenter le chiffre d’affaires. Sylvaine conclut que le personnel n’est pas assez protégé et qu’il faudrait procéder à des contrôles supplémentaires.
Dominique critique la restauration rapide qu’il considère comme une solution de facilité. Il pense que cette nourriture n’est pas adaptée aux enfants, qui doivent plutôt être habitués à manger des légumes frais. Dominique préfère cuisiner chez lui au lieu de manger une nourriture que selon lui est immonde.
Laurence condamne la société du XXIe siècle qui prend plus le temps pour déguster une nourriture saine. Elle évoque le principe contraire à celui du fast-food, c’est-à-dire le « slowfood ». Cela consiste à prendre son temps pour consommer une nourriture de qualité et savoureuse. Finalement, elle met l’accent sur l’importance de la communication lors du repas qui souvent est inexistante dans les fast-foods.
Claude admet aimer la restauration rapide uniquement quand ce sont des plats qu’il ne fait pas chez lui. Il critique deux aspects du MC Donald’s. Premièrement, la nourriture n’est pas de qualité. Deuxièmement, il est difficile d’avoir quelque chose de convenable à manger aux heures