Faut-il limiter ses désirs ?
Le philosophe depuis l’Antiquité affirme que le meilleur fonctionnement de l'homme, celui qui lui permettra d’atteindre la «Sagesse», est hiérarchique : présidé par la Raison et la Conscience, elles permettent à l'homme de porter un jugement sur les choses qui l'entourent. Ce jugement renforcera sa volonté et sa détermination faces à ses choix, ainsi cette volonté anime son corps. Une toute autre organisation serait la cause de certain dérèglements chez le sujet, en effet un homme qui oriente sa raison en fonction des envie de son corps s'apparente a un fou. A premier abords la question semble évidente par les deux thermes opposés qui la compose : limite qui appelle à la restriction et Désir qui est synonyme de bonheur. Là où l'avis commun portera un «non» catégorique nous nous pencherons plus délicatement sur la question est-il nécessaire de restreindre ses Désirs ? Doit on les frustrer ? Doit on les laisser proliférer ? Comment le Désir peut être à la fois synonyme de bonheur et de plénitude comme de frustration totale ? Est il nécessaire a l'homme de raisonner ses Désirs ? Faut-il limiter ses Désirs ? Ainsi limiter ses désirs permet un domination prospère de la raison comme limiter ses désirs peut nuire au bonheur et à l'épanouissement de l’esprit du Sujet et le fait que le Désir soit sans limite cela implique quelque chose pour l'homme.
Il faut se méfier de ses désirs car sans aucunes limites il a vite tendance à devenirs une passion. Le Sujet perd rapidement de vu tout bonheur, plaisir ou une quelconque plénitude lorsqu'il se laisse guider tel une marionnette par ses passions, il tombe dans l’abus, l’excès : Ubris qui est craint de tout les philosophes platonicien ou stoïcien, connue pour perturber le raisonnement «sage». Le sujet développe alors une dépendance pour cet objet qui le passionne car la passion est envahissante, comme le disait Hegel «Rien de grand dans ce monde ne s'est fait sans passion». Cette procédure