Faut-il s’abstenir de penser pour être heureux ?
Penser : à l’encontre du bonheur ?
La pensée parait s’opposer à notre quête de bonheur développant une nouvelle dimension de déplaisir. De plus elle est l’auteur de nos désirs contradictoires et infinis en nombre, contraire à l’assouvissement du bien absolu.
Les maux de la pensée.
- L’âme, siège de la pensée, constitue une nouvelle dimension dans laquelle le malheur et déplaisirs peuvent prendre place.
- L’homme est le seul être doté de la pensée. Cette capacité se définit par les manifestations de la conscience : idées, volontés et sentiments. Cette épaisseur peut traduire des sentiments allant à l’encontre du souverain bien : le bonheur.
- La tristesse, la frustration, la haine, la peur sont autant de sentiments générés par la pensée qui amènent le trouble, contestent un désir de