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Pour «rompre donc totalement avec le passé», la société d’exploitation des ports adopte aussi une nouvelle identité visuelle. Celle-ci a été dévoilée mercredi 27 juin. «Pour mieux accompagner la nouvelle mission du leader de la manutention, il fallait le doter d’une nouvelle identité», précise le staff. C’est aujourd’hui chose faite. Le nom Marsa se serait très vite imposé, «dans le nouveau contexte d’ouverture». Puis celui de Maroc y a été associé, parce que c’est du Maroc dont il est question. Un Maroc qui bouge, en pleine mutation économique. Avec la réforme portuaire, entrée en vigueur le 1er décembre 2006, c’est le début d’une nouvelle ère, celle du progrès technologique et de la performance. Plus question donc de «traîner le passif, qu’il soit positif ou négatif». Avec l’adoption de cette nouvelle identité visuelle, le staff de MarsaMaroc souhaite également «consolider le nouvel état d’esprit qui doit dorénavant prévaloir en interne». La libéralisation appelle forcément une nouvelle attitude, celle de l’efficacité et de la rentabilité. Non pas que l’ancienne structure n’ait pas, dans sa gestion quotidienne, adopté les règles du privé. Mais aujourd’hui plus qu’hier, il est question non pas d’un simple changement mais d’une véritable rupture. Voire même de nouvel élan et de projection dans le futur. La réforme portuaire que le ministre des Transports, Karim Ghellab, avait eu du mal à faire passer (cf. www.leconomiste.com) avait abouti à la scission de l’Odep en deux entités, l’ex-Sodep et l’Agence nationale des ports. Chacune d’entre