correction
1. Relevé des informations données dans la nouvelle.

Chapitre I - Félicité est au service de Mme Aubain pendant cinquante ans : « Pendant un demi-siècle, les bourgeoises de Pont l'Évêque envièrent à Mme Aubain sa servante Félicité. » (l.1)

Chapitre II - Elle devient orpheline et « toute petite » (l.35) est embauchée par un fermier pour garder les vaches : « Son père, un maçon, s'était tué en tombant d'un échafaudage. Puis sa mère mourut, ses sœurs se dispersèrent, un fermier la recueillit, et l'employa toute petite à garder les vaches dans la campagne. » et est « chassée pour un vol de trente sols, qu'elle n'avait pas commis » (l.38) et est engagée dans une autre ferme comme fille de basse-cour. Ses patrons l’apprécient. Elle tombe amoureuse de Théodore, « un jeune homme d’apparence cossue » (l.43) à dix-huit ans (cf. « (elle avait alors dix-huit ans) », l.40) mais il se marie avec une autre : « Pour se garantir de la conscription, Théodore avait épousé une vieille femme très riche » (l.73-74). Elle part alors pour Pont-l’Évêque (l.76-77). La même année (« au bout du mois », l.75), elle est engagée comme cuisinière par Mme Aubain et se prend d’affection pour ses enfants, « Paul et Virginie, l'un âgé de sept ans, l'autre de quatre à peine » (l.83). « Un soir d'automne » (l.126) elle les défend contre un taureau et se consacre dès lors à Virginie, qui souffre d’« une affection nerveuse » (l.146). Ils partent donc pour Trouville, où elle « avait retrouvé une sœur » (l.204-205) et se prend d’affection pour son neveu Victor. Ils retournent à Pont-l'Évêque, la saison n'étant plus assez bonne pour Virginie qui tousse. Paul part pour le collège de Caen, et Félicité mène la petite fille au catéchisme à partir de « Noël ».

Chapitre III - Félicité est initiée au catéchisme et se recentre sur la religion avec la première communion de Virginie (l.242). Virginie est envoyée par sa mère « en pension chez les Ursulines d'Honfleur » (l.256). Félicité en est