Selon Aristote le bonheur peut s’attendre à travers la rationalité et une vie sociale active. Notre société actuelle nous obligé à être devenir des personnes rationnelles, puis que nous devons utiliser notre raisonnement jour à jour. Par exemple, lorsque nous allons à l’école ou au travail nous devons faire appel à notre rationalité pour pouvoir vivre en communauté d’une façon civilisé. Si nous prenons par acquis que le bonheur se trouve dans la rationalité et dans la vie sociale, est-ce que notre société favorise l’atteinte du bonheur aristotélicien? Il sera démontré que notre société favorise l’atteinte du bonheur. Pour y arriver, nous montrerons d’abord que la société encourage le développement des êtres rationnels. Finalement, il sera prouvé que la société encourage le développement de la vie sociale.
Tout d’abord, la société favorise l’atteinte du bonheur aristotélicien, car elle encourage fortement le développement des êtres rationnels. Prenons par exemple le rôle des femmes du XXIe siècle, si nous les comparons aux femmes du XIXe siècle, elles sont devenues des femmes autosuffisantes. Jusqu’un certain degré les femmes sont autosuffisantes, parce que nous vivons dans une société interdépendante et nous avons des besoins sociaux dans lesquels il est nécessaire la présence des autres êtres humains. Mais au-delà de ces conditions les femmes ont la même capacité que les hommes de s’auto-suffire à elles-mêmes, elles n’ont plus le besoin de dépendre d’un homme comme elles le faisaient auparavant, souvent cette situation arrive par leur propre choix, mais parfois c’est aussi parce que c’est le hasard que l’a décidé ainsi, par exemple, les femmes qui sont mères célibataires, qui prennent possession de leurs enfants sans une figure paterne, car elles ont développé la capacité et l’autodétermination de ses actes pour dépasser ses limites. Cette évolution donne plusieurs avantages aux femmes, tel que devenir propriétaires de sa propre vie, ce qui leur permet de