- Statut paradoxal

Nous allons maintenant de parler du côté paradoxal des femmes dans cette société; sur certains points plus en particulier. Nous allons en effet voir que leur ce qu'on leur éducation, tant mentale que physique était très différente (d'aujourd'hui déjà c sur ^^) et avait un aspect très paradoxal. Tout d'abord nous pouvons dire que le corps de la femme est perçu de deux façons. En effet, le corps féminin était vu par la société comme quelque chose de pur et qui ne pouvait être repoussant (sauf pendant les règles où elles inspiraient apparemment du dégoût). Les femmes ne portaient d'ailleurs pas (ou peu) de maquillage et aucuns accessoires pour embellir leur aspect. La femme était donc considérée comme belle et pure pour elle même. (certains disent aussi que le maquillage ou les accessoires étaient aussi mal vu parce que la femme était la " propriété de son mari "...). A cette époque on parle de la grande fragilité et la grande vulnérabilité du corps féminin...ce pourquoi les femmes étaient souvent enfermées. (ou encore cause chose du mari).
Paradoxalement, nous avons vu (ou pas) que les mauvais traitements infligés aux femmes étaient très fréquents. De plus, face à cette " divinisation " du corps féminin, voire même de la femme (son rôle est totalement idéalisé: ffemme parfaite avec vocation d'apaiser tout le monde, notion " d'ange au foyer ") la femme restait perçu comme n'étant pas quelqu'un à part entiere et n'étant qu'une sorte de propriété...
Bien entendu, la situation pour les classes ouvrières étaient différente comme à chaque fois, la femme n'était pas considérée comme fragile, mais robuste! Et elle n'était donc pas confinée mais plutôt dans les rues et parfois même considérée comme un objet accessible publiquement. Pour ce qui est de leur éducation, la chose demeure tout aussi bizarre:
Pour les femmes ayant accès à une éducation, bien souvent on considérait qu'il n'était pas nécessaire de leur donner accès à l'instruction de