L’ACIDE LACTIQUE, UN DÉCHET DU MÉTABOLISME

Toute les cellules eucaryotes puisent l’énergie nécessaire à leur métabolisme dans l’oxydation de molécules organique telle que le glucose. En conditions anaérobies lorsqu’il y a absence de dioxygène, les cellules degradent le glucose de facon incomplète, elles adoptent alors un métabolisme fermentaire. Ce processus debute dans le cystoplasme par la glycolyse qui correspond à l’oxydation partielle du glucose en acide pyruvique couplée à la synthèse de deux molécules d’ATP et de composés réduit R’H2. Par la suite des bactéries lactique permettent la réalisation d’une fermentation dite lactique en reduisant en acide lactique, l’acide pyruvique issu de la glycolyse ce qui permet alors la réoxydation des composés R’H2. La fermentation ne permet pas la production d’ATP ,mais elle permet a la glycolyse de se dérouler en absence de dioxygène. L’acide lactique est donc le produit final de la fermentation. Au total, cela ne permet la production que de 2 molécules au lieu de 36 produites en presence de dioxygène.
Le sport est souvent associé à la douleurs prenons l'exemple des courbatures, ces fameuses douleurs qui perdurent plusieurs jours après l’effort… Elles sont enfaite des minuscules fissures des fibres musculaires, auquelles l’organisme repond en déclenchant une légère réaction inflammatoire. Celle-ci pouvant être entraîné lors d’un effort inhabituel qui sollicite des muscles de manière excentrique. Le lactate n’a donc aucunement sa place dans l’apparition de courbatures.
Dans les légendes de vestiaire, le lactate est responsable de la fatigue musculaire et des courbatures, c’est un déchet du métabolisme qui s’accumule quand il y a une mauvaise oxygénation des fibres musculaires. FAUX ! Encore un mythe qui n’en vaut pas la peine.
Le lactate pemet de faire fonctionner la glycolyse lors de l’absence de dioxygène ainsi la production d’ATP continue malgré qu’elle soit inférieur à la production d’ATP en présence de