Fernand braudel : la dynamique du capitalisme
Chapitre Premier : En repensant à la vie matérielle et à la vie économique
I :
-Histoire économique n’est pas l’histoire noble, elle est l’histoire entière des hommes regardée d’un certain point de vue.
-Histoire des grands acteurs, grands évènements, histoire de la conjoncture et des grandes crises et l’histoire massive.
-Coexistence des rigidités : D’un côté les paysans, de l’autre l’économie de marché et la montée du capitalisme.
-Humanité ensevelie dans le quotidien = Vie matérielle.
II :
- Premier chapitre : « Le nombre des hommes » => * La puissance biologique pousse l’homme à se reproduire. - Tour à tour, il y a soit trop d’hommes, soit pas assez. L’équilibre n’est atteint que rarement. - A partir de 1450 : Le nombre d’hommes croît rapidement. - A partir du 18ème siècle : le nombre d’hommes n’a cessé d’augmenter. - Les façons de rétablir l’équilibre ne manquent pas : pénuries, famines, guerres, maladies (peste, typhus, variole, tuberculose …), conditions de vies médiocres, mauvaise qualité de l’hygiène et de l’eau potable. *Apparition de produits alimentaires : céréales (le plus important), le blé, le riz, maïs => Rations et calories insuffisantes. * Progrès technique très lent, tout est technique depuis toujours => Les grandes concentrations économiques appellent les concentrations de moyens techniques et le développement de la technologie. La science sera toujours au rendez-vous. Diffusion incessante de la science mais mauvaise diffusion des groupements de techniques.
- Deux derniers chapitres : « Monnaies et villes » => -Monnaie très vielle invention et les villes existent depuis la préhistoire. Les villes et la monnaie ont fabriqué la modernité et la modernité a poussé à l’expansion de la monnaie et la tyrannie grandissante des viles.
III :
- L’habituel envahit l’ensemble de la vie des hommes.