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Avec le développement des marchés financiers et de la communication financière d’un côté, et avec la généralisation des normes IFRS (International Financial Reporting Standards) remplaçant les normes IAS (International Accounting Standards) accordant une place importante à la juste valeur de l’autre, on a de plus en plus besoin d’évaluer les entreprises, pour des multiples raisons, que se soit pour les acheter, pour les vendre, pour les restructurer, etc. Par ailleurs, il faut remarque qu’autrefois, évaluer une entreprise était une opération peu courante et une technique indépendante. Actuellement, elle est devenue une opération de plus en plus intégrée dans un contexte séquentiel du type : Diagnostic – Evaluation – Ingénierie Financière.
Plusieurs méthodes d’évaluation sont à la disposition des investisseurs pour prendre une position. On distingue les méthodes applicables aux entreprises dont le lien de dépendance est très étroit avec le dirigeant (ce sont généralement les entreprises de moins de 10 ou de 20 salariés) et les méthodes applicables aux entreprises ayant une autonomie suffisante pour ne pas souffrir du changement de dirigeant.
Parmi les méthodes applicables à la première catégorie d’entreprises, on distingue :
La méthode des valeurs comparables telles que les transactions récentes externes ou internes. Pour les transactions externes, il s’agit de se référer au secteur d’activité (chambre de métiers, chambre de commerce, fédération syndicale, etc.) pour obtenir de l’information. Pour les transactions internes, on peut se référer au registre des mouvements des titres qui reprend l’exhaustivité des achats et des ventes des actions, les augmentations du capital et ainsi de suite. Ces méthodes sont rarement utilisées dans la mesure où il existe rarement des « vrais » comparables et mêmes si ceux-ci existent, il faut faire très attention quant au caractère pertinent de la comparabilité des données externes
La méthode des valeurs patrimoniales : Sur

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