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Cette région choisie pour notre projet de fin de cours semble une région vierge ainsi que riche dans des domaines spécifiques pour les investisseurs en fait La région Chaouia-Ouardigha bénéficie d’un positionnement avantageux au Maroc, au carrefour des centres économiques du Grand Casablanca, de la région Rabat-Salé-Zemmour-Zaër, et de celle de Marrakesh-Tensift-Al Haouz. Elle bénéficie ainsi du réseau routier et ferré, ainsi que de l’activité économique de l’axe Casablanca – Rabat. En termes de potentialité, La région, ne se résume cependant pas aux retombées du développement de la région du Grand Casablanca. Malgré la faible densité de sa population (1.6 millions d’habitants sur 16.760 km2), elle a su développer une forte activité économique autour de filières régionales historiquement implantées, comme l’agro-industrie et la chimie/parachimie.
L’ancien « grenier du Maroc » reste un acteur de premier plan de la production agricole du Maroc, notamment pour sa production de viande bovine, de volaille et de céréales. La région totalise ainsi à elle seule 16% de la production céréalière nationale. Il s’agit également d’une région fortement industrialisée, la troisième du Maroc en la matière avec 450 unités industrielles implantées en 2009. Ce constat trouve pour une bonne part son explication dans le développement de la chimie-parachimie autour notamment de la production de phosphate.
La région totalise en effet 37 milliards de tonnes de réserves de phosphate (sur un total de 85 milliards au niveau national) et assure 64.3% de la production marchande de phosphate avec l’installation ancienne de l’Office Chérifien du Phosphate (OCP) sur le site de Khouribga. Les ressources ne se limitent cependant pas au phosphate puisque de nombreux cimentiers opèrent également sur ce territoire et y ont fortement développé leurs activités ces dernières années.