Fiches de Français
1. A l’ouest rien de nouveau
Erich Maria Remarque (1898-1970), il écrit ce livre en 1929, le livre est mal perçu par les nazis. Il devient citoyen américain en 1947. Il devient scénariste et meurt en suisse. Ce roman est un témoignage pacifiste sur la 1ère guerre mondial.
1 Chapitre 1, pages 5-9
Cette scène parle de la vie quotidienne des soldats. C’est une entré in médias res
Vocabulaire familier, vie triviale: « Le ventre plein de haricots blancs avec de la viande de bœuf et nous sommes rassasiés et contents. » Annales la fin de la page 5.
Vocabulaire ‘’technique’’ « marmitage ».
On voit 2 groupes : celui des étudiants et celui des ouvriers artisans.
Comment les soldats sont-ils présentés dans cet incipit?
Le choix de la simplicité, le refus de l’épique
Un point de vue original et nuancé
Les fonctions de l’incipit
Li’incipit en donne le ton et l’esprit plus que l’intrigue. Il est très représentatif du reste du roman.
2 Chapitre 6, pages 87-89.
Les soldats de la compagnie sont remontés en première ligne, depuis 3 jours ils subissent un intense bombardement. Au début du passage, le bombardement s’arrêt ce qui est mauvais signe = assaut. Comment le récit réaliste d’une scène tactique est mis au service de réflexion morale?
La scène de bataille
La vision de l’ennemi
Une scène fantastique (utilisation d’image)

Conclusion:
Comme dans d’autre épisode du roman, Remarque parvient à concilier la précision d’une dimension documentaire, l’intérêt pour l’action des personnages et une profonde réflexion moral. Rapprochement avec la scène du trou d’obus et de l’ennemi qu’il tue de ses mains.
3 Chapitre 8, pages 140-142
Ici Paul Baümer va en permission chez ses parents, on ne parle pas de son père.
Comment l‘auteur met-il en scène un rendez-vous manqué avec la paix?
Le retour de l‘enfant. (Les femmes françaises qui sont mauvaises, un caleçon chaud, la considération des autres.)
Le regard du soldat. (à chaque départ,