Fiche de lecture : la fin de l'histoire et le dernier homme de fukuyama
Pas d’adversaire idéologique sérieux à la démocratie libérale
Evolution des sociétés humaines s’achèverait un jour : démocratie
Et ceci pour deux raisons, une d’ordre économique et l’autre liée à la lutte pour la reconnaissance.
Pessimisme du XXe siècle remet en question le progrès technologique du aux guerres mondiales : « science sans conscience n’est que ruine de l’âme ». Doute de la démocratie et des valeurs universelles, communisme peut très bien exister pour toujours. Surprise de sa chute.
La faiblesse des Etats forts Dans les années 80 transition des pays d’Amérique latine, mais aussi d’Asie vers la démocratie, chute du mur de Berlin.
Manque de légitimité des dictatures :
La fascisme s’appuie sur un idéologie non universelle, où la guerre lui est une condition normale : donc contradiction si paix universelle, si nazisme triomphait totalement. Dans la plupart des cas, pour paraître plus légitime, la dictature se donne au moins un vernis démocratique, en organisant des élections (Pinochet, sandinistes), et perdent face à l’idée même de la démocratie. Totalitarisme : explication globale, veut créer un homme nouveau. Vol au dessus d’un nid de coucou de Ken Kesey : asile contrôle tous les patients, qui eux ne sont même pas retenu contre leur volonté, refuse de s’échapper et restent avec l’aspect sécurisant de la grande nurse. But du totalitarisme : lui faire craindre cette liberté au bénéfice de la sécurité.
Faiblesse fondamentale du communisme est d’ordre économique : contact avec capitalisme, son ouverture à la démocratie l’a perdue. Difficile transition, pas vraiment démocratique, sorte de « société post totalitaire » comme dit Vaclav Havel
La révolution libérale mondiale Libéralisme : reconnaissance par un système légal de certains droits fondamentaux et libertés individuelles indépendantes du contrôle de l’Etat.
Démocratie : droit qu’ont tous les citoyens à prendre part dans la vie