RESUME – PIERRE ET JEAN, Guy de MAUPASSANT (1887) me jubilait de cette nouvelle,M
Roland
CHAPITRE I me regretta que seul
Jean
ait hérité. Un après-midi, M. et M Roland, me leurs deux fils et MRosémilly pêchaient
CHAPITRE II sur leur bateau : La Perle. M. Roland était
Pierre ne savait que faire, il erra un ancien bijoutier, qui était venu dans le centre-ville du Havre. Il ressentait s’installer au Havre pour vivre sa passion : un grand mécontentement, mêlé à de la la pêche. Il avait deux fils : Pierre, l’aîné, tristesse.Il s’arrêta pour réfléchir et trentenaire brun, diplômé de médecine et décréta qu’en réalité, il enviait son frère
Jean, le cadet, blond et diplômé en droit. qui recevaitcet héritage. Il se mit à
Jaloux l’un de l’autre,ils se battaient contempler le paysage nocturne du port. me souventpour être les meilleurs.M
Une barque entra dans le port, et il vit un
Rosémilly,jeune et belle veuve de homme un peu plus loin. Quand il capitaine,les attirait, cequi les menait s’approcha, il reconnut son frère Jean. Ils souvent au conflit. Comme il était tard, et échangèrent brièvement sur le paysage et que la pêche ne donnait rien, ils se
Pierre le félicita de son héritage, puis il alla décidèrent à rentrer. Le vent étant tombé, chez Marowsko, boire un dernier verre. les deux frères se mirent à ramer avec
Celui-ci lui fit goûter sa « groseillette » et force et à montrer à la jeune veuve qui
Pierre parla de cet héritage. Sans en dire était le plus fort. L’effort fut si intense que plus, Marowsko, expliqua que cela n’était
Pierre, qui s’était essoufflé se sentit mal. pas clair. Pierre ne comprenant pas ces
M. Roland calma la cadence,puis il propos repartit chez lui se coucher. décrivit,le paysage,la région et les bateauxqu’ils rencontraient.Lorsqu’ils
CHAPITRE III me débarquèrent, M Rosémilly accepta la
Au réveil, Pierre réfléchissait sur sa me propositionde dîner, de M
Roland.
condition et sa richesse. Il