Figures de monstres en littérature
→ Kafka, XX, mort de la tuberculose. Tchèque, écrit en allemand. Livres longs et difficiles, glauques et oppressants.
→ Transfère ses angoisses : société stressante. Problèmes avec son père : Veut vivre de son écriture, refus du père. Tentative de suicide.
→ La métamorphose, écrit pendant une crise familiale.
I/Une description du monstre : un texte fantastique 1)L’énonciation
→ Point de vue interne (intéressant, réflexion), 3ème personne => distanciation, mais on comprend que ce sont ses pensées. « il » devient « je » → le personnage se dédouble
Il se voit d’un point de vue externe (transformation, chambre, extérieur), il essaye de sortir de sa condition (symboliquement) Décalage, aucune peur, il nous parle de son métier. 2)La transformation
Impossible de se voir sans miroir → Chaque lecteur projette son dégoût.
Ungeziefer → Problème de traduction, en français « vermine ».
Symbolique : Première de couverture, son père horrifié se cachant les yeux
Premier paragraphe → terme scientifique, précis, mais lui pas précis provoque le dégoût chez le lecteur (l.35 et l.6)A du mal à croire à cette transformation (l.8 et 2,3)
Le texte n'est pas vraiment fantastique (faits surnaturels, irréels qui intervient dans le réel et qui va surprendre et faire peur) puisque la transformation s’est déroulée avant. 3)Un texte en rupture avec la tradition fantastique.
→ Pas de peur, analyse sa chambre (l.8) = distanciation, il est seulement triste qu’il pleuve alors qu’il devrait l'être pour sa transformation.
→ son seul problème, c'est qu'il veut dormir (politique de l’autruche). Il ne peut pas se mettre dans la position qu’il souhaite, ce sont les sensations qui le gêne et non la transformation.
→ Fantastique dès le début, intervient plus tard normalement.
II/Les différents registres 1)Tragique et pathétique
→ Être humain qui perd sa forme humaine, fatalité car n’est plus capable de vivre