Dans le film, Orange mécanique, Alex est le personnage principal qui suit ses passions au long du film, aime s’amuser et réaliser toutes ses passions (même si ces actions sont considérées comme violentes et inacceptables pour la société). Alex a de la volonté de puissance en lui (puissance d’action). Il prouve son individualisme par ses vêtements assez bizarres et sa volonté de puissance par ses transformations tout au long du film; il ne se repose pas, il cherche toujours une transformation. Il met de côté son objectivité et la raison d’un monde «pour tous» et affirme plutôt son individualité envers et contre tous en faisant ce qu’il veut, entre autres des actes violents. Sa volonté de puissance est grande car il a des forces actives : il utilise la logique du «oui» pour réaliser ses actes, il accepte de participer à l’expérimentation, il est différent, il se distingue et on peut voir qu’il est fier de lui. En se basant sur Nietzsche, on peut dire qu’Alex dépasse le nihilisme. Il dit «oui» à la vie, crée son propre sens et ne fuit pas la douleur, etc. Le fait qu’il ne fuit pas la douleur, on le voit lorsqu’il accepte d’essayer la thérapie par aversion afin de sortir de prison (traitement fondé sur des réflexes de Pavlov). Cependant, ce traitement enlève toute sa faculté de distinguer le bien du mal. C’est plutôt le gouvernement qui se donne le pouvoir, par ce traitement, de décider ce qu’est le bien et le mal en «programmant», en quelque sorte, la personne (dans ce cas c’est Alex). Ainsi, Alex devient le «dernier homme», c’est-à-dire un homme faible. Il obéit à ce qu’on lui dit, par exemple : il a accepté de lécher les bottes de celui qui l’a violenté devant le public. Pourtant, après sa tentative de suicide, la thérapie par aversion ne marche plus et Alex retrouve ce qui lui fait plaisir en disant qu’il est guéri. En somme, ce que ce film voulait nous montrer c’est probablement la liberté d’agir, de penser et de s’exprimer si on ne compte pas toute