Fin des fourmis

Je vais les lancer avant de changer de jambes et il faut absolument que je le fasse parce que j’en ai assez de la guerre et parce qu’il me vient des fourmis.
XVI
J’ai fini par reprendre mon carnet et mon crayon. Ça faisait trois jours que j’étais planté là. Il a fallu que je m’étire tout en laissant ma jambe sur la mine en espérant qu’elle n’explose pas. Pendant ces trois jours, j’ai vu un chat parlé d’un coq qui chantait. Je lui ai demandé s’il voulait prendre ma place, il a refusé. J'ai pris la roche la plus proche et je me suis dit que si je peux faire vingt pas sans marcher dessus, je n’aurai pas de bouton sur le nez demain. Prenant peur, le chat marcha sur une mine et en éclaboussa tous les obstacles qui se trouvaient sur le chemin de son liquide rouge sang. Ça donnait une belle couleur aux murions. À ce moment, je me retrouvai de nouveau seul. Il n’y avait pas un chat à un kilomètre à la ronde. Les fourmis emportèrent ce qu’il restait du chat, je n’avais plus rien à manger. Les jours passèrent et je n'avais plus rien a faire. Je me suis dit que je pouvait m'étendre, me coucher ou m'incliné par terre, mais je ne pouvait pas. Je me suis endormis a quelques reprise de peur que j'explose en étant réveillé, au moin je ne sentirait rien jusqua mon réveil. Un bon matin , il y avait un homme au loin. Il s'avançait vers moi. C'étais un homme , de taille moyenne, je ne vis pratiquement pas son visage à cause du soleil qui le suivait. Lentement , il me demanda ce que je faisait ici, ce pourquoi j'était seul et je lui répondis<<RÉPLIQUE EU LE PROF A DONÉ>>. Tout à coup , il me pris par les bretelle et me bouscula. Mon casque fini par tombé juste sous mon pied , et heureusement , je fini par me libérer. Je courru vers l'ouest et lui vers l'est mais je tomba et un déclic s'entendis.