Financement
1) Pour les ménages endettés, ( taux d’intérêt = ( coût de l’emprunt car le montant des intérêts versés augmente. Pour les ménages en capacité de financement, ( taux d’intérêt = ( rémunération de leur épargne. 2) Cet article date de 1994, or depuis les cours boursiers ont connu de multiples crises : effondrement de la bulle spéculative de la nouvelle économie = krach boursier sur les valeurs des entreprises de nouvelles technologies (les fameuses start up : sur le nouveau marché en France, sur le Nasdaq aux Etats-Unis) qui a entraîné la « ruine » de nombreux petits actionnaires. 3) Lorsque les dividendes augmentent, c’est-à-dire lorsque les entreprises cotées distribuent une partie de plus en plus importante des bénéfices à ses actionnaires, on peut s’attendre que ce soit au prix d’un gel des salaires ou au moins d’un ralentissement de leur augmentation. 4) L’illusion de liquidité c’est l’illusion qui frappe les « boursicoteurs » qu’ils pourront toujours revendre leurs titres avant que le cours ne baisse trop. Dans les faits, les krachs boursiers surprennent les acteurs des marchés financiers (par définition puisqu’un krach est soudain et imprévisible). On peut certes toujours revendre mais pas à n’importe quel prix. 5) En théorie quand un prix (, la demande (. Or, dans certaines périodes, (bulle spéculative en formation), ( cours des titres (= prix) est au contraire le signal qu’il faut acheter (=( demande) pour ne pas manquer l’opportunité future de s’enrichir puisque les agents anticipent que les cours vont continuer à monter, même s’ils achètent à un moment où les cours sont déjà « anormalement » élevés. 6) Le 3ème § renvoie à l’exemple récent de l’éclatement de la bulle spéculative de la nouvelle économie. 7) La possibilité théorique de vendre ou d’acheter un titre à tout moment est à la fois un avantage et un inconvénient :