flower
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Il ouvrit la porte de son appartement, et avança d’un pas terrorisé vers le fond et s’installa dans sa salle à manger ; et d’un ton mélancolique il posa sa main sur la table et releva ses pieds sur la chaise, son regard perdu vint se poser sur le plafond parsemé d’araignées. Le silence qui s’instaura dans cette salle froide envahissait son âme préoccupait désormais son esprit il savait cette fois que son destin était déterminé et qu’il devra rejoindre les autres dans les ténèbres, il resta figé sur sa place ses yeux commençaient à libérer des larmes chaudes qui coulaient sur son visage fatigué ou sillonnent des raides ;il ne s’est jamais imaginé que le monde finira aujourd’hui et qu’il percevra pour la dernière fois le crépuscule ce soir avec sa femme sur leur balcon laqué de rose et dont la façade extérieure est parsemée d’algues et de lauriers rose qui poussaient abondamment sur les bords grâce à l’ensoleillement de l’été et l’humidité de l’automne ,de cette belle vue on entrevoit l’horizon lointain qui se déchire au fur et à mesure qu’on éloigne nos yeux.En se dirigeant vers la porte de sortie, Paul devenait pale lorsqu’il entendit la clé introduite dans le petit trou de la serrure c’était Marie une jeune femme blonde aux yeux brunes, à la posture sportive de son regard se détacha une pureté et une authenticité rare chez les femmes blondes, malgré leurs disputes perpétuelles elle aimait Paul et ne pouvait s’en séparer, ça remontait à leur année d’étude ou ils se sont croises la première fois dans le hall de l’université , Paul était tant pressé qu’il a failli tomber les livres de Marie, dés le premier regard il a adoré ses longues hanches et sa coupe courte qui a occupé son esprit pendant toute une journée, quant a Marie il adorait son air fougueux, ses réponses évasives ,et surtout cet air qui vous rassure que vous êtes avec un vrai homme qui vous relâchera jamais ,En outre ils avaient au moins des choses communes . Un an plu tard ils se