Football : jeu ou opium
Le football est le jeu le plus médiatisé dans le monde et le plus populaire, ce sport qui attire l’attention de toutes les populations dans le monde sans aucune condition.
Le décalage horaire n’est plus un facteur qui peut réduire l’audience qui se place devant le téléviseur, des heures avant le début des matchs.
Des jours et des jours avant et après le match, on discute, on lance des pronostics, on commente, on suit les informations partout dans les sources des informations.
Le nombre de chaines télévisées de sport a augmenté considérablement, meurs modèle économique évolue et change continuellement pour répondre aux besoins de spectateurs et pour gagner des part de marchés.
Des soirées et des rencontres entre des amis ou des parents se préparent pour vivre des moments très émotionnels.
Des écrans géants s’installent dans des places pour accueillir des milliers de personnes qui ont un seul objectif, l’émotion et la victoire.
Des préparatoires et des millions d’euro seront gaspiller pour du spectacle et des moments forts de plaisir.
Sauf que dés que cet homme en noir siffle pour donner le début de la joie, tout peut s’évaporer pour que les larmes et la tristesse prennent place et que la mauvaise humeur aussi.
Les commentateurs qui débute leurs discours par on va assister à un match plaisant et un bon spectacle, termine son discours pat le foot est une science inexacte et n’obéit à aucun raisonnement scientifique.
Comment peut-on confier notre âme, notre envie et notre personne à des jeux qui n’obéissent à aucune logique.
Quel ce facteur intrinsèque et qui nous pousse à payer notre tristesse et notre malheur ?
Quelles sont ces personnes qui travaillent pour nous rendre des personnes qui achètent de l’illusion ?
Doit on continuer, ou bien se poser la bonne question : Pour quoi nous faisons ça