Les formes nouvelles de la guerre

But : discerner les différentes formes que prend l’acte de guerre, parvenir à une meilleure forme que prend l’acte de guerre, reconnaitre ce qui fait sa spécificité. A partir de là, le but est d’interpréter les événements, de porter un jugement sur les événements.

« La guerre est la matrice de l’histoire », Mr Couteau Bégary. La guerre est à l’origine de grands bouleversements (eco, sociaux, démo, scientifique) Certains disent même que la guerre est trop importante pour être confiée aux militaires. A la base, s’occuper de la guerre, de la défense, c’est le devoir de tous citoyens. Si la guerre évolue, quelles sont les facteurs qui peuvent faire évoluer la guerre ? - La nature des acteurs : militaires, soldats réguliers, civils, partisans, guérilleros - Facteurs politiques et idéologiques ainsi que juridique - L’évolution des moyens matériels, la science, les techniques. - Les médias - Les enjeux qui déterminent le niveau de la guerre - La culture influe sur la manière dont le peuple fait la guerre. Ex : Américains/ Africains ; Romains/Gaulois.

- Les penseurs de la guerre : De Gaulle (théoricien de la guerre), Clausewitz, Les stratèges, les géographes (phénomène d’urbanisation -> conflits dans les villes)
- Période d’études : années 50 jusqu’à maintenant.

I- Les guerres révolutionnaires et ses avatars

La guerre classique ou la guerre conventionnelle : 1er critère est juridique. Deux notions : jus ad bellum (Le droit à la guerre) C’est la notion de guerre juste, la juste cause. Mais également qui est compétent pour faire la guerre : autorité publique soit l’etat. Les troupes sont des armées régulières.
Soldat régulier : obéit et appartient à une hiérarchie. A un uniforme. Porter ouvertement les armes.
On a aussi des formes dans le jus as bellum : la guerre se déclare donc se termine officiellement.
Jus in bello (droit dans la guerre) : Avant il y avait une détermination des combats