Et ainsi/comme ça ils ont bu tous les deux auparavant/avant/en avance, en se racontant un à l’autre des choses agréables/plaisantes. Maintenant/Pour l’instant c’était (trop) tard ; l’hôte a dit, qu’étant fatigué de tant de chemin qu’il avait parcouru/parcouru, maintenant il avait besoin de repos et il avait rajouté : -Et après/ensuite, je ne veux que vous non plus perdiez votre repos pour moi. Allez, couchons-nous ; et parce que demain matin peut-être je partirai avant que tu te réveille, je te dis dès maintenant que je suis resté très enchanté/ravi du régalement que tu m’avais fait tellement preste. Mais il y a une chose que je regrette : je ne sais pascomment prouver ma reconnaissance. Dis-moi, je vous prie, comment je pourrais m’acquitter pour telle bienveillance, pour que tu voies que tu n’as pas eu à faire avec un inconnu. Ce n’est pas possible qu’un homme comme vous, n’ait pas de soucis, d’un besoin, où qu’il ne veuille pas à lui faire à son gré. Regarde, comme tu me vois tel un commerçant/commerçant, il se peut que je sois capable de te contraindre à mon tour/moi aussi quelque chose, sinon à proprement parler, au moins par l’intermède d’un de mes amis. A ces paroles polis, du commerçant, Abu Hassan a répondu : -Très-honnête monsieur, je ne me doute pas du tout que, pas seulement comme ça, or comme un homme poli, tu me montre tant de politesse. Mais je peux te rassurer que je n’ai ni souci, ni embarras/empêchement, ni désire et je ne demanderais rien à personne. Je n’ai le moindre appétit de montée et je suis très content de mon sort. Par la suite, je te remercie trop, premièrement/tout d’abord que t’es entré dans ma maison et que t’as honoré ma table, bonne, mauvaise, telle comme on l’a pu trouvée… Avec toutes celles-ci, j’aurais, pourtant, quelque chose qui me fâche, mais pas à tel point que/tellement que je perdisse ma silence pour ça. Voici ce que c’est/Que tu voies de quoi s’agit-il… Ici chez nous au Bagdad chaque bidonville a sa mosquée avec un