Français question de texte
Des compléments circonstanciels de temps montrent la longue journée de travail « (vers 4) quinze heures » « (vers 5) de l'aube au soir », « vers 11) jamais on ne s'arrête et jamais on ne joue », cette phrase présente l'anaphore de l'adverbe « jamais ».Il permet d'insister sur l'absence de temps de pause «(vers 5-6) ils vont […] faire éternellement, de l'aube au soir le même mouvement ».
On voit les enfants par rapport au machine « (vers 7) sous les dents d'une machine sombre » et « (vers 4) sous les meules »et tout le temps en dessous avec la préposition « sous » complément circonstanciel de lieux, Les mots « (vers 6)prison », « (vers 9)bagne », « (vers 9)enfer » et « (vers 17)servitudes » montrent l'esclavage des enfants avec des expressions en gradation ascendante.
Les machines sont personnifiées comme le ferait un enfant « (vers7)dents d'un machine sombre », « (vers 9)mâche on ne sait quoi dans l'ombre »la machine est comparée à un monstre. On trouve l'allitération su son [r] qui donne un son inquiétant.
Les enfants ne devraient pas être dans cette univers de brutes dur et difficile. Le poème de Victor Hugo est très réaliste. Ces enfants travaillent mais il y a des conséquences : ils sont malades « (vers 2)fièvre, maigrit », « (vers 12)quelle pâleur ! ». Les enfants paraissent vieillir« (vers 13)ils sont déjà bien las » avec l'adverbe « bien » qui amplifie l'aspect fatigué.
La maigreur est mise en