Dans ce poème de Victor Hugo aux rimes croisées, le thème principal est basé sur une métaphore entre la faune et la flore, l'auteur cherche comme à démonter le fait qu'il aime les araignées ainsi que les orties. Il cherche à les valoriser et à contrer les idées préconçues que la plupart des gens fond. Victor Hugo les décrit comme "Vilaine bête et mauvaises herbes" pour retranscrire ce que pensent la plupart des personnes. Il utilise un champ lexical qui se rapporte à la pensée de l'Humain. En effet, l'Homme les détestent donc l'auteur va employer une sorte de dégoût par rapport à celui-ci ; "Maudites, Chétives, Victimes, Pauvre animal, Plante obscure ... "
De plus, la présence des points d'exclamations va permettre de confirmés les affirmations.
On remarque que Victor Hugo emploie très souvent des anaphores : on peut déjà en trouver une dans le titre "J'aime l'araignée et j'aime l'ortie", en début de plusieurs vers "Parce que..." qu'on retrouve huit fois, ou encore "plaignez la laideur, plaignez la piqûre... plaignez..." au vers 19 Sans doute les "parce que" servent à expliquer l'emploi de sa première phrases "J'aime l'araignée et J'aime l'ortie", il essaye donc d'apporter des arguments à son opinion, comme s'il se justifiait, et grâce aux "parce que", aux "parce qu'elles", Victor Hugo insiste sur ses arguments qu'il montre nombreux. Cet effet de style a un esprit convaincant et de justification.
Malgré le fait de l'emploie du champ lexical du dégoût et du mal, on peut observer quelques mots ( "Mélancolie", "Baiser", "Amour" ...) qui apportent de la gaîté au poème. Victor Hugo oppose donc deux champs lexicaux pour parler des araignées et des orties, donnant lieu à un vrai paradoxe vu que l'opinion générale n'est pas du même avis que le