Dans un premier temps Médée nous rapellle que Jason l'a trahit. En effet elle apparait comme une femme bléssée ainsi chez Corneille la rupture entre Médée et Jason est présente grâce à la répétition du verbe quitter comme le montre : "me peut - il bien quitter après tant de bienfait? N'ose - t'il bien quitter après tant de forfaits?" (l.23-24) Sénèque qualifie Jason d'énemie avec l'utilisation en masse de ce mots présent à la ligne 10 "Qu'els traits diriges-tu contre un énemi perfide?" et 13 : "Ah! Si mon ennemi avait déjà eu des enfants de ma rivale!...". Rouquette , lui met en valeur la faute de Jason en utilisant une ponctuation forte, ici deux point et le présentation voilà. Ceci est présent dans l'extrait "Ils sont de la race Jason : volà le péché" (l28). Pour conclure Médée apparait bien comme une femmme bléssé en utilisant les mots quitter et énemie. Elle remet donc la faute sur Jason. Elle a perdu quelqu'un qui était important pour elle. Ensuite Médée est en proie à la furreur ce fait est bien visible dans ces trois textes, ils sont composé de question réthorique parfait acompagne par des interjection mais elle s ont plus marqué mon attention chez Sénèque, comme le montre l'extrait : "ou donc t'élance tu ma colère?"(l8-9). Aussi , chez Corneille il invoque des créature infernal grâce à l'énumération présente au vers 1-2: "Trouve savant en noir barbarie , filles de l'archéon , pestes , larves , buries". Pour finir chez Rouquette il utilise une animalisation , dans laquelle sont imcorporé des figure de style. Par expleme des métaphores sont présente : "aux bêtes sauvage" (l.16) "petit loups" (l.26) et des comparaisons : "chasse comme une chienne" (l21). En conclusion , la fureur est visible grâce à des éléments de folie ou ellle se parle à elle même ,