La religion aux XVIIème et XVIIIème siècles : les Protestants, les Quiétistes, Les Jésuites, Les Jansénistes et les Molinistes : définitions et principes de foi.

La religion désigne l'ensemble déterminé de croyances et de dogmes définissant le rapport de l'homme avec le sacré (dogmes: Opinions données comme certaine, intangible et imposée comme vérité indiscutable ). Cette ensemble de croyances et de dogmes a depuis toujours eu un impact sur les sociétés. Ces croyances divines existe depuis l'an -3500 avant Jésus Christ (prépolythéisme, en Egypte). En passant par les civilisations antiques comme celle de grèce antique avec le Polythéisme (Conception religieuse qui admet une pluralité d'êtres divins). Jusqu'a nos jours comme le christianisme ou le judaïsme qui sont encore pratiqués. Toutes ces religions sont fondées sur des principes de foi communiqués par des mythes et écris religieux (Bible, Coran,... ). Ici , nous allons nous intéresser aux religions du XVIIème et du XVIIIème siècle. En matière de critique de la religion, Voltaire est la figure des Lumières la plus connue. Pour autant, Voltaire n'est pas athée mais revendique l'existence d'un être suprême. Au XVIIème siècle, le contexte politique est marqué pas l'apogée de la monarchie absolue et du droit divin. En effet, le régne de Louis XIV s'étalant de 1643 à 1715 impose l'obéissance et contrôle les courants d'opinion religieux et littéraire( censure), autorisant une seul religion, celle du roi. L'église catholique occupe donc une place importante dans cette société théocratique. Les penseurs sont profondément croyants. Les critiques se concentrent donc essentiellement dans le domaine théologique. Au XVIIème siècle, le christianisme crée des conflits entre plusieurs ordres religieux. Comme par exemple le conflit théologique qui oppose les Jansénistes aux Jésuites. D'où la création de diverses religions qui ont leur propre vision du christianisme comme le Protestantisme, le Quiétisme , le Jésuitisme , le