Francais
Premièrement, Ludvik était un communiste et il allait à la faculté, la Cité université.
Il faisait parti de l’Union étudiante, groupe communiste de la faculté, dont Zemanek était le président. Ludvik fréquentait une jeune femme naive nommée Marketa, il communiquait ensemble par lettre écrit. Un jour, Ludvik écrivit une lettre pour blesser Marketa qui était bien sarcastique à son égard, mais cette lettre est la première péripétie de son malheur. Elle disait : « L’optimiste est l’opium du peuple! L’esprit sain pue la connerie. Vive Trotski! Ludvik » (page 55). Donc, cet écrit était comme une grave trahison envers le communiste. Cette lettre a fini par tomber dans les mains de l’Union étudiante. Après avoir posé une pénurie de question a Marketa pour la faire parler, c’était au tour de Ludvik. Il avait prit le temps de parler en privé a Zemanek pour lui dire que ce papier était une blague, une plaisanterie, mais Pavel décida d’exclure Ludvik du Parti communiste en plus de le renvoyer de l’école. C’est ainsi que Ludvik retourna dans son village natal. Il aura toujours u sentiment de haine envers Pavel à partir de ce moment la. Pour se sentir mieux Ludvik a besoin de se venger, c’est comme cela qu’il essayera de faire du mal a Pavel en lui prenant Helena, puisque que celle ceci sera sa femme.
Tout d’abord, au début du roman, lorsque Ludvik retourne en Moravie dans sa ville natale que l’on connaît point le nom, c’était parce que Helena faisait un reportage