Texte d’invention :

Pantagruel décide d’attaquer les Almyrodes. En l’absence d’Alcofribas réfugie dans la bouche du géant, vous racontez l’attaque de la cite des Almyrodes par l’armée de Pantagruel. Vous imiterez un récit épique, en veillant a respecter les caractéristiques de tout récit, en particulier l’emploi du passe simple et de l’imparfait. Vous réglerez le problème du point de vue en choisissant un narrateur.

La pluie commença a s’abattre de plus en plus violemment, tintant contre les armures des valeureux soldat de Pantagruel ; ce dernier, sentant le combat approcher, implora Dieu de lui porter chance durant la bataille contre les Almyrodes. A ce moment précis les nuages se concentrèrent au dessus des forces utopiennes et les gouttes maintenant devenues rouge sang vinrent chatouiller la langue de Pantagruel. Il prit du temps à réaliser qu’il pleuvait du vin et que ces soldats, assoiffes et couverts par sa langue, ne pouvaient pas en profiter. Les soldats balancèrent leurs têtes en arrière, le gosier bien ouvert et leur palais en attente de la liqueur. Apres avoir bu l’équivalent de 36 tonneaux chacun la pluie cessa et Pantagruel décida de se mettre en route. L’armée composée d’une infanterie ivre, conduite par des nobles chevaliers encore plus ivres que leur subordonnes avança vers la cite des Almyrodes en tibutant. De loin on aura dit un troupeau de pas moins de treize milles deux cent cinquante moutons égares, marchant sans but. La cite des Almyrodes entant enfin en vue, Pantagruel ordonna a ses soldats d’adopter leur formation offensives, bien qu’en réalité la cite ce trouvait a pas moins de 30 000 lieus. Apres avoir couru en hurlant des obscénités pendant une bonne vingtaine de minutes, tant ils étaient ivres, ils se mirent en place pour un résultat évidemment bien loin des attentes de leur bon chef Pantagruel. Celui-ci, désespéré par l’organisation de son armée, la poussa du bout de l’index en direction de la cite. Les Almyrodes qui