Francais
Intro: Les fables de LF s'inscrivent dans le courant moraliste qui trouve son apogée en France dans le seconde partir de XVII°. Ce que dénoncent alors les auteur moraliste comme La bruyère est l'égoïsme de grand du XVII°. Or , le comportement en société était vécu comme une esthétique dont l'idéal était l'honnête homme . LF propose un apologue dans lequel est souligné, sur un mode burlesque, propose à l'univers transposé de la fable, l'importance du code social qui règne dans le milieu aristocratique de la Cour, les rapports entre courtisans et monarque. LF s'est inspiré de la fable de Phèdre « le Lion régnant » qu'il a mise en vers et de manière a viser la monarchie de Louis XIV
I)LF propose un récit vif et animé , simple d'accès
A) Structure simple : 3 comportement de courtisans
• vers 1-13 : présentation de la cour : cadre temporel nettement délimité par les valeur de passé « voulut » « manda »
• vers 14-32 : dans ce mouvement le récit voit s'installer une triple intervention ( ours v16-19 , singe v20-27, renard v28-32) où intervient le procédé de l'emploi du discours.
• Ces mouvement sont relier par la versification : ours/singe par « irrité » « dégouté » « sévérité » vers 33-36 : moralité explicite. On passe du récit au discourt du fabuliste
• Le passage de la morale se présente comme un élément conclus « ceci » = cet exemple
→ ainsi le conseil est universel. La morale est isolée du récit par un blanc typographique ce qui valorise tout comme sa structure en quatrain.
B) Procédés d'animation rendent le récit vivant
• Le rythme est en adéquation avec l'idée et tient le lecteur en éveil
• Les octosyllabes donnent un rythme plus rapide et soutienne l'intérêt du lecteur.
• LF se sert aussi de la longueur des vers pour différencier récit et commentaire: v25, récit en alexandrin / v 26-27 commentaire ironique et octosyllabe
• Le dernier rejet « sans odorat » met en